Marché Immobilier 2025,
les tendances de la rentrée !

Une reprise confirmée

Après deux années marquées par un ralentissement des ventes et une prudence accrue des acheteurs, le marché immobilier de La Baule affiche un net regain d’activité sur le deuxième semestre 2025. Comparativement à 2023 et 2024, les transactions se montrent beaucoup plus soutenues, grâce à des taux de crédit historiquement bas et des conditions d’emprunt plus favorables. Acheteurs et vendeurs retrouvent un équilibre, et les biens de qualité continuent de se vendre rapidement, parfois en quelques visites seulement.

Taux stables et prix au m² : un marché immobilier qui respire !

En cette deuxième partie de l’année 2025, le marché immobilier de La Baule bénéficie d’une bonne stabilité. Les taux de crédit restent autour de 3,1 %, tandis que le taux directeur de la BCE se maintient à 2 %, offrant un cadre rassurant pour les transactions. Cette situation soutient la demande et permet aux acheteurs comme aux vendeurs de garder une certaine confiance.

Les prix au m² se stabilisent, après les fluctuations post-Covid, la variation reste importante selon l’emplacement et la qualité des biens. Dans les quartiers périphériques, les appartements en bon état avec balcon et parking se négocient entre 5 500 et 6 700 €/m². À proximité de l’avenue de Gaulle face mer les prix grimpent autour de de 10 000 à 13 000 €/m². Quant aux biens d’exception, avec vue mer, terrasse ou étage élevé, ils atteignent un minimum de 11 000 à 15 000 €/m² et se vendent souvent hors marché, témoignant de leur rareté et de leur attractivité sur le marché baulois !

Cette stabilité des taux et cette diversité de prix reflètent un marché à la fois rassurant pour les acquéreurs et exigeant pour les vendeurs, où la qualité des biens reste le facteur clé de succès.

Résidences secondaires et attractivité

Avec 59 % du parc immobilier constitué de résidences secondaires, La Baule reste un marché très recherché. La clientèle nationale et internationale continue de plébisciter la ville grâce à son cadre de vie, ses infrastructures, et sa proximité avec Saint-Nazaire, Nantes et Paris ainsi que ses lignes TGV.

Maisons anciennes, toujours une perle rare !

À La Baule, les maisons du début du XXe siècle occupent une place particulière sur le marché immobilier. Ces demeures, souvent chargées d’histoire et dotées d’un caractère architectural unique, se font très rares. Leur offre limitée explique pourquoi elles se vendent très rapidement, parfois après seulement quelques visites, et souvent en dehors du marché officiel, grâce à un réseau discret d’agences et de contacts locaux.

Ces biens se distinguent par leurs volumes généreux, leur style classique avec détails d’époque, et parfois par un terrain ou un jardin de belle taille, ce qui les rend particulièrement prisés des familles à la recherche d’un logement de caractère ou d’une résidence secondaire haut de gamme. La rareté et l’authenticité de ces maisons en font des investissements durables, souvent transmis de génération en génération, et elles restent un symbole du prestige et du charme historique de La Baule.

Pour les acquéreurs, il s’agit donc de réactivité et d’une grande préparation : dès qu’un bien de ce type est mis sur le marché et se libère, il attire immédiatement l’attention des acheteurs locaux, nationaux et internationaux, qui savent que l’opportunité ne se représentera peut-être jamais !

Perspectives pour la fin d’année 2025

Alors que l’année 2025 avance vers sa dernière période, le marché immobilier de La Baule reste stable, mais avec une demande qui dépasse largement l’offre disponible. Cette situation se traduit par une stabilité générale des prix, mais également par une concurrence accrue sur les biens les mieux situés et ceux présentant des prestations de qualité, comme une vue mer, une terrasse, ou un emplacement central.

La tendance toujours et encore se confirme pour les résidences secondaires, qui continuent d’attirer une clientèle nationale et internationale désireuse de profiter de la ville tout au long de l’année, ainsi que pour les appartements situés à proximité immédiate des commerces et de la plage, qui restent très prisés.

Vendre sur la côte Atlantique pour s’installer dans le Sud : réalité ou fantasme ?

Ce phénomène est soutenu par des facteurs tels que le climat plus ensoleillé, la qualité de vie et des prix immobiliers plus attractifs, attirant ainsi de nombreux habitants de la côte Atlantique à concrétiser ce projet. Ce mouvement concerne autant les actifs à la recherche d’un meilleur cadre de vie que les retraités désireux de profiter du soleil toute l’année. Les biens haut de gamme, bien situés ou avec vue mer, restent particulièrement prisés, et la tendance se confirme : conjuguer investissement immobilier et bien-être devient un choix de plus en plus courant pour ceux qui peuvent se le permettre.

Vendre son bien sur la côte Atlantique pour s’installer dans le Sud de la France est une réalité bien ancrée. À La Baule, le prix moyen du m² est estimé à 6 454 €, avec une fourchette allant de 3 752 € à 8 358 € selon les quartiers et les types de biens . En comparaison, dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le prix médian du m² est de 4 158 €, avec une fourchette de 2 321 € à 7 171 € . Ainsi, le Sud offre des opportunités immobilières plus accessibles, tout en conservant un certain cadre de vie. 

Prêt à investir avec un budget mensuel adapté ?

Le marché immobilier évolue, mais reste accessible à ceux qui savent s’organiser. Avec une mensualité de 1 000 € sur 25 ans, le montant empruntable était de 259 071 € en 2021185 549 € en 2023 et 206 322 € en 2025, reflétant l’évolution des taux et du marché. Avec un apport de 300 000 € et un budget de remboursement de 2 000 €/mois, vous pouvez envisager un investissement autour de 700 000 €, ouvrant ainsi la possibilité d’acquérir des maisons familiales, des appartements bien situés ou des résidences secondaires à La Baule et ses environs. Ces chiffres montrent que, malgré la rareté et la compétitivité du marché, il est possible de réaliser votre projet immobilier en planifiant son financement et en saisissant les bonnes opportunités.

Article réalisé avec la collaboration de Nikola Fidancev

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